Un
Peu
D'histoire

En 1927, l’affaire SACCO et VANZETTI provoqua à Paris une vive agitation dont le point culminant fut la manifestation du 23 août, qui eut lieu malgré l’interdiction dont elle avait fait l’objet. Des heurts violents opposèrent les forces de l’ordre aux manifestants. La situation des agents, transportés dans les hôpitaux parisiens, fut très critique pour ceux qui se trouvaient aux côtés de manifestants eux aussi hospitalisés. Exposés aux sarcasmes, insultes et menaces, ils vécurent ce séjour à l’hôpital avec difficulté, dans une atmosphère parfois insupportable.
Face à cette situation grave, susceptible de se reproduire, le préfet de Police de l’époque, Jean CHIAPPE, décida de créer une maison de santé pour les gardiens de la paix blessés en service commandé.
Aujourd’hui, l’Hôpital des Gardiens de la Paix accueille tout assuré social qui sollicite une admission afin d’y recevoir des soins médicaux et de réadaptation.

En 1927, l’affaire SACCO et VANZETTI provoqua à Paris une vive agitation dont le point culminant fut la manifestation du 23 août, qui eut lieu malgré l’interdiction dont elle avait fait l’objet. Des heurts violents opposèrent les forces de l’ordre aux manifestants. La situation des agents, transportés dans les hôpitaux parisiens, fut très critique pour ceux qui se trouvaient aux côtés de manifestants eux aussi hospitalisés. Exposés aux sarcasmes, insultes et menaces, ils vécurent ce séjour à l’hôpital avec difficulté, dans une atmosphère parfois insupportable.
Face à cette situation grave, susceptible de se reproduire, le préfet de Police de l’époque, Jean CHIAPPE, décida de créer une maison de santé pour les gardiens de la paix blessés en service commandé.
Aujourd’hui, l’Hôpital des Gardiens de la Paix accueille tout assuré social qui sollicite une admission afin d’y recevoir des soins médicaux et de réadaptation.

En 1927, l’affaire SACCO et VANZETTI provoqua à Paris une vive agitation dont le point culminant fut la manifestation du 23 août, qui eut lieu malgré l’interdiction dont elle avait fait l’objet. Des heurts violents opposèrent les forces de l’ordre aux manifestants. La situation des agents, transportés dans les hôpitaux parisiens, fut très critique pour ceux qui se trouvaient aux côtés de manifestants eux aussi hospitalisés. Exposés aux sarcasmes, insultes et menaces, ils vécurent ce séjour à l’hôpital avec difficulté, dans une atmosphère parfois insupportable.
Face à cette situation grave, susceptible de se reproduire, le préfet de Police de l’époque, Jean CHIAPPE, décida de créer une maison de santé pour les gardiens de la paix blessés en service commandé.
Aujourd’hui, l’Hôpital des Gardiens de la Paix accueille tout assuré social qui sollicite une admission afin d’y recevoir des soins médicaux et de réadaptation.

En 1927, l’affaire SACCO et VANZETTI provoqua à Paris une vive agitation dont le point culminant fut la manifestation du 23 août, qui eut lieu malgré l’interdiction dont elle avait fait l’objet. Des heurts violents opposèrent les forces de l’ordre aux manifestants. La situation des agents, transportés dans les hôpitaux parisiens, fut très critique pour ceux qui se trouvaient aux côtés de manifestants eux aussi hospitalisés. Exposés aux sarcasmes, insultes et menaces, ils vécurent ce séjour à l’hôpital avec difficulté, dans une atmosphère parfois insupportable.
Face à cette situation grave, susceptible de se reproduire, le préfet de Police de l’époque, Jean CHIAPPE, décida de créer une maison de santé pour les gardiens de la paix blessés en service commandé.
Aujourd’hui, l’Hôpital des Gardiens de la Paix accueille tout assuré social qui sollicite une admission afin d’y recevoir des soins médicaux et de réadaptation.

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Aujourd’hui, l’Hôpital des Gardiens de la Paix accueille tout assuré social qui sollicite une admission afin d’y recevoir des soins médicaux et de réadaptation.